Si lors d’un jeu basé sur la connaissance des pays africains vous poser la question à savoir de quel pays vient le tché bou dien, vous pouvez être certain que l’ensemble des candidats répondra juste à cette question. Il est presque impossible de parler de tchép bou dien sans évoquer le nom d’un pays : le Sénégal. Que ce soit en Afrique, en Europe, en Asie ou en Amérique, tout le monde connait le tchèp (riz en wolof, langue nationale du Sénégal).
C’est à bas âge que la sénégalaise apprend à cuisiner ce plat, car au Sénégal une femme qui ne connait pas mettre à table un bon tchéb bou dien, ne saura jamais rendre heureuse son époux, chaque famille possède donc son petit secret (ingrédients, dosage, cuisson).
Selon Ismaël Kambel du site de réservation d’hôtels jovago.com, « les nombreux visiteurs une fois arrivés au Sénégal n’ont qu’un mot en tête tchéb bou dien, certains nous demande même s’il est possible qu’ils fassent des cours de cuisine pour apprendre à cuisiner du tchèp, à côté de cela il y’a bien sur la musique de Youssou Ndour, mais le tchèp reste la principale attraction ».
Situé au quartier nombakélé à Libreville (Gabon), Astou la sénégalaise, comme l’appellent affectueusement ses clients, est devenue grâce à son tchéb bou dien l’amie de tout le monde.
« Beaucoup de personnes qui désirent se rendre au Sénégal, viennent me demander conseil, certains me demandent même de leur suggérer des endroits où ils peuvent manger du bon tchèp. Ici les gens appellent le tchéb bou dien, le riz sénégalais ».Fatima elle pour sa part réside à Montreuil (France) depuis 20 ans, elle a fini par se faire des amis dans toute la cité où elle réside avec sa famille. « Lorsqu’il y’a des fêtes comme la tabasky, j’invitais des voisins à manger du tchéb bou dien, et chaque année on se retrouvait de plus en plus nombreux. On a donc décidé avec mes sœurs sénégalaises de créer une association, et à chaque fête on cuisine du tchèp et invitons nos voisins et amis dans un endroit plus grand. Par la suite plusieurs de nos amis qui ne connaissaient pas notre pays ont été passés leurs vacances.
Le tchéb bou dien est devenu en dehors du Sénégal une référence lorsqu’on parle de cuisine africaine, mais ce plat qui selon l’histoire aurait été cuisiné pour la première fois à Saint-louis du Sénégal dans les années 1800 est surtout devenu le miroir du pays de la « téranga » (hospitalité).
ISMAILA KAMBELL
C’est à bas âge que la sénégalaise apprend à cuisiner ce plat, car au Sénégal une femme qui ne connait pas mettre à table un bon tchéb bou dien, ne saura jamais rendre heureuse son époux, chaque famille possède donc son petit secret (ingrédients, dosage, cuisson).
Selon Ismaël Kambel du site de réservation d’hôtels jovago.com, « les nombreux visiteurs une fois arrivés au Sénégal n’ont qu’un mot en tête tchéb bou dien, certains nous demande même s’il est possible qu’ils fassent des cours de cuisine pour apprendre à cuisiner du tchèp, à côté de cela il y’a bien sur la musique de Youssou Ndour, mais le tchèp reste la principale attraction ».
Situé au quartier nombakélé à Libreville (Gabon), Astou la sénégalaise, comme l’appellent affectueusement ses clients, est devenue grâce à son tchéb bou dien l’amie de tout le monde.
« Beaucoup de personnes qui désirent se rendre au Sénégal, viennent me demander conseil, certains me demandent même de leur suggérer des endroits où ils peuvent manger du bon tchèp. Ici les gens appellent le tchéb bou dien, le riz sénégalais ».Fatima elle pour sa part réside à Montreuil (France) depuis 20 ans, elle a fini par se faire des amis dans toute la cité où elle réside avec sa famille. « Lorsqu’il y’a des fêtes comme la tabasky, j’invitais des voisins à manger du tchéb bou dien, et chaque année on se retrouvait de plus en plus nombreux. On a donc décidé avec mes sœurs sénégalaises de créer une association, et à chaque fête on cuisine du tchèp et invitons nos voisins et amis dans un endroit plus grand. Par la suite plusieurs de nos amis qui ne connaissaient pas notre pays ont été passés leurs vacances.
Le tchéb bou dien est devenu en dehors du Sénégal une référence lorsqu’on parle de cuisine africaine, mais ce plat qui selon l’histoire aurait été cuisiné pour la première fois à Saint-louis du Sénégal dans les années 1800 est surtout devenu le miroir du pays de la « téranga » (hospitalité).
ISMAILA KAMBELL