M. Le Roux, professeur à l’Université Claude Bernard de Lyon1, s’exprimait en marge des activités du Centre International des Mathématiques Pures et Appliquées (CIMPA). Un séminaire qui s’est ouvert ce 02 septembre à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB) regroupe une quinzaine de jeunes étudiants et chercheurs africains.
« Les sujets qui ont été choisis pour cette école du CIMPA Sont liés à des besoins dans ces pays d’Afrique de l’Ouest. Les mathématiques peuvent avoir un coté appliqué qui touche la vie des gens’’, a indiqué ce mathématicien qui explique que l’ouverture de la brèche à Saint-Louis devrait être précédée d’une étude mathématique pouvant amoindrir ses conséquences actuelles.
En outre, il a révélé que « les mathématique appliquées « permettent de gérer et prévoir certains problèmes comme le transfert de polluant dans les lacs et rivières, l’écoulement pluvieux en milieu urbain » sans oublier les problèmes épidémiologiques.
« C'est une occasion d’étudier les possibilités qu’offrent les mathématiques pour décrire des modèles pouvant permettre de comprendre l’évolution et la propagation de certaines maladies », dira t-il.
Mamadou Sy, professeur titulaire de mathématiques a salué le dynamisme de la collaboration qui a conduit à la tenue de la quatrième édition des ces journées scientifiques à l’UGB. Pour lui, « les mathématiques appliquées permettent aux populations de sentir la présence de l’Université ».
Satisfait de la mobilisation drainée par le CIMPA, M. Sy a magnifié l’importance des échanges menés dans le cadre de ces rencontres. « Nous avons évoqué des questions liées à la dynamique d’eau avec le mécanique des fluides et ceci nous a permis d’évoquer le problème des trois marigots et de la brèche sur la langue de barbarie ».
« En 2004, des chercheurs du laboratoire d’analyse numérique et d’informatique avaient attiré l’attention des pouvoirs publiques sur les menaces que représentait l’ouverture de ce canal de délestage », a-t-il confié.
Cette édition du CIMPA, intitulée « méthodes numériques en mécaniques des fluides, épidémiologie mathématique et système de rection-diffusion », fermera ses portes ce 13 septembre 2013.
Cheikh S.SEYE
« Les sujets qui ont été choisis pour cette école du CIMPA Sont liés à des besoins dans ces pays d’Afrique de l’Ouest. Les mathématiques peuvent avoir un coté appliqué qui touche la vie des gens’’, a indiqué ce mathématicien qui explique que l’ouverture de la brèche à Saint-Louis devrait être précédée d’une étude mathématique pouvant amoindrir ses conséquences actuelles.
En outre, il a révélé que « les mathématique appliquées « permettent de gérer et prévoir certains problèmes comme le transfert de polluant dans les lacs et rivières, l’écoulement pluvieux en milieu urbain » sans oublier les problèmes épidémiologiques.
« C'est une occasion d’étudier les possibilités qu’offrent les mathématiques pour décrire des modèles pouvant permettre de comprendre l’évolution et la propagation de certaines maladies », dira t-il.
Mamadou Sy, professeur titulaire de mathématiques a salué le dynamisme de la collaboration qui a conduit à la tenue de la quatrième édition des ces journées scientifiques à l’UGB. Pour lui, « les mathématiques appliquées permettent aux populations de sentir la présence de l’Université ».
Satisfait de la mobilisation drainée par le CIMPA, M. Sy a magnifié l’importance des échanges menés dans le cadre de ces rencontres. « Nous avons évoqué des questions liées à la dynamique d’eau avec le mécanique des fluides et ceci nous a permis d’évoquer le problème des trois marigots et de la brèche sur la langue de barbarie ».
« En 2004, des chercheurs du laboratoire d’analyse numérique et d’informatique avaient attiré l’attention des pouvoirs publiques sur les menaces que représentait l’ouverture de ce canal de délestage », a-t-il confié.
Cette édition du CIMPA, intitulée « méthodes numériques en mécaniques des fluides, épidémiologie mathématique et système de rection-diffusion », fermera ses portes ce 13 septembre 2013.
Cheikh S.SEYE