Tout commença par une guitare métallique grise offerte par un supporter très satisfait de la prestation d’Édouard lors d’un match de football, oui vous avez bien compris, Édouard était footballeur avant d’être musicien. Il est l’ainé de 7 frères et sœurs, dont 5 garçons et 2 filles, après l’acquisition de cette guitare, il se met à apprendre sérieusement l’instrument et finit par devenir guitariste et bassiste professionnel dans le groupe le plus en vue de saint louis du Sénégal le Star Jazz dirigé par Pape Samba Diop dit M’ba, il y reste 6 ans.
Après cela, il forme chez lui 2 groupes de musique, le Super Sabor et l’Africans’ group, la maison familiale devient alors le passage de beaucoup de musiciens, d’instrumentistes et de chanteurs, cela sera aussi le début de l’apprentissage de ses frères Albert, Benjamin et Marc, la maison était dénommée «maison des arts » dont beaucoup de ces nombreux artistes musiciens et peintre furent très reconnus dans le monde entier.
Après l’expérience de ses deux groupes, il eut un contrat en tant que guitariste au Cayor Rythme, un orchestre basé à Thiès dirigé par Mame Cheikh Kounta et Abdoulaye N’Diaye Tchiossane. Sélectionné pour représenter la région de Thiès à la quinzième culturelle de Dakar en compétition avec beaucoup d’autres groupes ils sont deuxième et remportent la médaille d’argent. À la fin de son contrat il arrive à Dakar et crée un groupe de débutants dénommé Diamono dont le siège est situé chez Charles Diop au bloc des enseignants à Colobane un quartier de Dakar.
Avec cette nouvelle création Édouard se met à écrire des textes et à arranger des titres, dont l’hommage à Pape Samba Diop son ancien chef d’orchestre décédé et que Youssou N’Dour (arrivé à l’âge de 14 ans dans l’orchestre) a interprété ce qui lui a valu d’être découvert par tout le public sénégalais.
Le Diamono après plusieurs tournées en Gambie, en Casamance et en Guinée-Bissao finit par se produire au Laguème dancing à Kaolack au Sénégal, Édouard remonte alors en Gambie et signe un contrat avec l’orchestre Sérékounda, comme guitariste soliste. Étant très tenté par le changement, il ne reste pas longtemps à Sérékounda, à la fin de son contrat d’un an il part pour Kolda et rencontre des musiciens de la guinée et décide de se mettre ensemble avec un nouveau groupe entre sénégalais et Guinéens, ce fut une belle expérience, car il participe à la quinzaine culturelle de Dakar et leur orchestre baptisé le Moussa Molo remporte la médaille d’argent.
Édouard prend alors un stand-by et rentre à Saint-Louis sa ville natale où il prend la gérance du plus grand club discothèque de la place et crée un programme d’association culturelle, c’est une première, car c’est la rencontre de la musique moderne et traditionnelle (dénommée soirée sénégalaise), c’est une première au Sénégal, car à cette époque les soirées à thèmes n’existaient pas et tous les responsables d’animation des boites de nuit commencèrent à exploiter cette nouvelle animation qui attirait en fait beaucoup le public sénégalais.
Après cela, il forme chez lui 2 groupes de musique, le Super Sabor et l’Africans’ group, la maison familiale devient alors le passage de beaucoup de musiciens, d’instrumentistes et de chanteurs, cela sera aussi le début de l’apprentissage de ses frères Albert, Benjamin et Marc, la maison était dénommée «maison des arts » dont beaucoup de ces nombreux artistes musiciens et peintre furent très reconnus dans le monde entier.
Après l’expérience de ses deux groupes, il eut un contrat en tant que guitariste au Cayor Rythme, un orchestre basé à Thiès dirigé par Mame Cheikh Kounta et Abdoulaye N’Diaye Tchiossane. Sélectionné pour représenter la région de Thiès à la quinzième culturelle de Dakar en compétition avec beaucoup d’autres groupes ils sont deuxième et remportent la médaille d’argent. À la fin de son contrat il arrive à Dakar et crée un groupe de débutants dénommé Diamono dont le siège est situé chez Charles Diop au bloc des enseignants à Colobane un quartier de Dakar.
Avec cette nouvelle création Édouard se met à écrire des textes et à arranger des titres, dont l’hommage à Pape Samba Diop son ancien chef d’orchestre décédé et que Youssou N’Dour (arrivé à l’âge de 14 ans dans l’orchestre) a interprété ce qui lui a valu d’être découvert par tout le public sénégalais.
Le Diamono après plusieurs tournées en Gambie, en Casamance et en Guinée-Bissao finit par se produire au Laguème dancing à Kaolack au Sénégal, Édouard remonte alors en Gambie et signe un contrat avec l’orchestre Sérékounda, comme guitariste soliste. Étant très tenté par le changement, il ne reste pas longtemps à Sérékounda, à la fin de son contrat d’un an il part pour Kolda et rencontre des musiciens de la guinée et décide de se mettre ensemble avec un nouveau groupe entre sénégalais et Guinéens, ce fut une belle expérience, car il participe à la quinzaine culturelle de Dakar et leur orchestre baptisé le Moussa Molo remporte la médaille d’argent.
Édouard prend alors un stand-by et rentre à Saint-Louis sa ville natale où il prend la gérance du plus grand club discothèque de la place et crée un programme d’association culturelle, c’est une première, car c’est la rencontre de la musique moderne et traditionnelle (dénommée soirée sénégalaise), c’est une première au Sénégal, car à cette époque les soirées à thèmes n’existaient pas et tous les responsables d’animation des boites de nuit commencèrent à exploiter cette nouvelle animation qui attirait en fait beaucoup le public sénégalais.
Au début des années 90 Édouard arrive en France et s’installe à Lyon avec sa famille dans sa commune de Bron, il crée le groupe Europa, style de musique variété française histoire de s’informer sur les réalités de la musique en France.
En 1999, il sort avec le groupe Diakhas’say son premier album « c’est si bon », cet orchestre deviendra une grande association artistique, culturelle et musicale. Puis, Édouard a reçu des diplômes d’honneur en 2002 et en 2008 décerné par l’association des musiciens du Sénégal section de St-Louis pour service rendu à la culture et à la musique sénégalaise.
La nonchalance et les éclats de rire spontanés de ces griots modernes donnent le ton. C’est avec cette étonnante décontraction qu’Édouard présente son groupe. C’est lui qui a introduit la musique dans la famille et a « contaminé » ses frères. Lui aussi qui a découvert au Sénégal, le jeune Youssou N’Dour, devenu depuis une star de la World Music, lui enfin qui a formé le Black and White, première mouture de Diakhas’say.
Édouard, le chanteur-guitariste compose en Wolof et en français les chansons du groupe et son frère Benjamin qui arrange les morceaux.
Ce multi-instrumentaliste a travaillé comme clavier dans de nombreux groupes, dont le Jarama de St-Louis et le Super Étoile de Youssou N’Dour de 1983 à 1985, en France il a collaboré au Walo Afro. Le deuxième album d’Édouard arrive en 2008, il le réalise avec ses frères, c’est toujours lui qui chante ses compositions et joue de la guitare, son instrument de prédilection.
En 2010, il sort l’album OBAMA- Président avec le titre Thiébou N’dar qui fait encore carton plein sur les radios et télévisions.
En 2013, l’album REGARD DANS LE PASSE qui retrace l’arrivée des colonisateurs portugais au 15e siècle avec le retour des fanales et l’histoire des Signares. On y retrouve aussi le titre «TIRAILLEURS, un hommage rendu aux tirailleurs sénégalais.
NDARINFO.COM
En 1999, il sort avec le groupe Diakhas’say son premier album « c’est si bon », cet orchestre deviendra une grande association artistique, culturelle et musicale. Puis, Édouard a reçu des diplômes d’honneur en 2002 et en 2008 décerné par l’association des musiciens du Sénégal section de St-Louis pour service rendu à la culture et à la musique sénégalaise.
La nonchalance et les éclats de rire spontanés de ces griots modernes donnent le ton. C’est avec cette étonnante décontraction qu’Édouard présente son groupe. C’est lui qui a introduit la musique dans la famille et a « contaminé » ses frères. Lui aussi qui a découvert au Sénégal, le jeune Youssou N’Dour, devenu depuis une star de la World Music, lui enfin qui a formé le Black and White, première mouture de Diakhas’say.
Édouard, le chanteur-guitariste compose en Wolof et en français les chansons du groupe et son frère Benjamin qui arrange les morceaux.
Ce multi-instrumentaliste a travaillé comme clavier dans de nombreux groupes, dont le Jarama de St-Louis et le Super Étoile de Youssou N’Dour de 1983 à 1985, en France il a collaboré au Walo Afro. Le deuxième album d’Édouard arrive en 2008, il le réalise avec ses frères, c’est toujours lui qui chante ses compositions et joue de la guitare, son instrument de prédilection.
En 2010, il sort l’album OBAMA- Président avec le titre Thiébou N’dar qui fait encore carton plein sur les radios et télévisions.
En 2013, l’album REGARD DANS LE PASSE qui retrace l’arrivée des colonisateurs portugais au 15e siècle avec le retour des fanales et l’histoire des Signares. On y retrouve aussi le titre «TIRAILLEURS, un hommage rendu aux tirailleurs sénégalais.
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