D’un montant global de 40 millions de FCFA, ce programme d’une durée de 3 ans. Ce projet, en phase teste prendra en charge la scolarisation et la restauration des 20 enfants (10 talibés et 10 autres en famille), a expliqué Bouna DIALLO, le coordonnateur du projet, en marge de cette rencontre à l’espace Jeunes.
« Des actions d’éducation et de formation par le biais de l’ancrage communautaire qui, de nos, jours, est un levier de développement et de protection des enfants, seront déroulées au fil de l’exécution de ce programme », a-t-il ajouté.
Abdoulaye Djiby SAMBOU, le chef de service régional du développement communautaire à Saint-Louis a insisté les enjeux et perspectives innovantes de ce projet, en faisait part de la disponibilité de son service à soutenir cette démarche.
Ababacar KANE, secrétaire général de l’Inspection de l’Éducation et de la Formation de Saint-Louis (IEF) s’est inscrit dans ce même sillage, en appréciant les objectifs de CLAIRE – ENFANCE, imprimés à ce projet.
En souhaitant l’élargissement des enfants bénéficiaires à la seconde phase du projet, M. KANE estime que ce programme « va réduire l’errance et la mendicité » et luttant considérablement contre la déperdition scolaire.
Des chefs de service, autorités académiques et coutumières, acteurs de la protection de l’enfance, ont pris part, mercredi, à un atelier de partage sur un projet autrichien piloté par CLAIRE ENFANCE et destiné à améliorer les conditions de vie et d’apprentissage des enfants en situation de vulnérabilité dans le département de Saint-Louis.
D’un montant global de 40 millions de FCFA, ce programme d’une durée de 3 ans. Ce projet, en phase teste prendra en charge la scolarisation et la restauration des 20 enfants (10 talibés et 10 autres en famille), a expliqué Bouna DIALLO, le coordonnateur du projet, en marge de cette rencontre à l’espace Jeunes.
« Des actions d’éducation et de formation par le biais de l’ancrage communautaire qui, de nos, jours, est un levier de développement et de protection des enfants, seront déroulées au fil de l’exécution de ce programme », a-t-il ajouté.
Abdoulaye Djiby SAMBOU, le chef de service régional du développement communautaire à Saint-Louis a insisté les enjeux et perspectives innovantes de ce projet, en faisait part de la disponibilité de son service à soutenir cette démarche.
Ababacar KANE, secrétaire général de l’Inspection de l’Éducation et de la Formation de Saint-Louis (IEF) s’est inscrit dans ce même sillage, en appréciant les objectifs de CLAIRE – ENFANCE, imprimés à ce projet.
En souhaitant l’élargissement des enfants bénéficiaires à la seconde phase du projet, M. KANE estime que ce programme « va réduire l’errance et la mendicité » et luttant considérablement contre la déperdition scolaire.
« Des actions d’éducation et de formation par le biais de l’ancrage communautaire qui, de nos, jours, est un levier de développement et de protection des enfants, seront déroulées au fil de l’exécution de ce programme », a-t-il ajouté.
Abdoulaye Djiby SAMBOU, le chef de service régional du développement communautaire à Saint-Louis a insisté les enjeux et perspectives innovantes de ce projet, en faisait part de la disponibilité de son service à soutenir cette démarche.
Ababacar KANE, secrétaire général de l’Inspection de l’Éducation et de la Formation de Saint-Louis (IEF) s’est inscrit dans ce même sillage, en appréciant les objectifs de CLAIRE – ENFANCE, imprimés à ce projet.
En souhaitant l’élargissement des enfants bénéficiaires à la seconde phase du projet, M. KANE estime que ce programme « va réduire l’errance et la mendicité » et luttant considérablement contre la déperdition scolaire.
Des chefs de service, autorités académiques et coutumières, acteurs de la protection de l’enfance, ont pris part, mercredi, à un atelier de partage sur un projet autrichien piloté par CLAIRE ENFANCE et destiné à améliorer les conditions de vie et d’apprentissage des enfants en situation de vulnérabilité dans le département de Saint-Louis.
D’un montant global de 40 millions de FCFA, ce programme d’une durée de 3 ans. Ce projet, en phase teste prendra en charge la scolarisation et la restauration des 20 enfants (10 talibés et 10 autres en famille), a expliqué Bouna DIALLO, le coordonnateur du projet, en marge de cette rencontre à l’espace Jeunes.
« Des actions d’éducation et de formation par le biais de l’ancrage communautaire qui, de nos, jours, est un levier de développement et de protection des enfants, seront déroulées au fil de l’exécution de ce programme », a-t-il ajouté.
Abdoulaye Djiby SAMBOU, le chef de service régional du développement communautaire à Saint-Louis a insisté les enjeux et perspectives innovantes de ce projet, en faisait part de la disponibilité de son service à soutenir cette démarche.
Ababacar KANE, secrétaire général de l’Inspection de l’Éducation et de la Formation de Saint-Louis (IEF) s’est inscrit dans ce même sillage, en appréciant les objectifs de CLAIRE – ENFANCE, imprimés à ce projet.
En souhaitant l’élargissement des enfants bénéficiaires à la seconde phase du projet, M. KANE estime que ce programme « va réduire l’errance et la mendicité » et luttant considérablement contre la déperdition scolaire.