Selon le syndicaliste, le Recteur de l’Université Gaston de Saint-Louis, « ne maitrise pas l’information financière que ne cesse de lui demander le SAES. Il a montré ses limites ».
Car, indique l’enseignant chercheur à la section Communication de l’Ufr CRAC de l’UGB, « l’argent des projets a disparu, dans la mesure où il y a des trous financiers aussi bien au centre de Drépanocytose (environ 60 millions FCFA) qu’au Projet Aagrim (432 millions FCFA) ».
« Et que dire d’autre, note-t-il enfin, des Droits d’inscription pédagogique (Dip) normalement fléchés pour le fonctionnement des UFR et qui sont consommés pour d’autres postes de dépense », s’interroge-t-il.
NDARINFO.COM
Car, indique l’enseignant chercheur à la section Communication de l’Ufr CRAC de l’UGB, « l’argent des projets a disparu, dans la mesure où il y a des trous financiers aussi bien au centre de Drépanocytose (environ 60 millions FCFA) qu’au Projet Aagrim (432 millions FCFA) ».
« Et que dire d’autre, note-t-il enfin, des Droits d’inscription pédagogique (Dip) normalement fléchés pour le fonctionnement des UFR et qui sont consommés pour d’autres postes de dépense », s’interroge-t-il.
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