‘’L’année dernière au Mozambique, on nous a signalés la présence de 50 pélicans blancs. Au même moment au Mali, on nous informait que ces derniers commencaient à se faire rare’’, a déclaré le colonel Diop qui s’exprimait à l’occasion de l’ouverture, dimanche, d’un atelier régional de formation des gestionnaires des sites clés le long de la côte ouest-africaine.
Pour parvenir à réaliser une telle chose, il en a appelé à la collaboration de tous les spécialistes dans ce domaine et au soutien des bailleurs de fonds comme Wetlands International, à l’initiative de cette rencontre. Il a signalé qu’un pas a été fait en cette direction mais n’a pas été suivi par d’autres.
Selon lui, ‘’ces oiseaux sont d’origine européenne mais ont trouvé les conditions idéales pour s’implanter au PNOD principalement où ils sont des milliers à séjourner durant leur période de nidification’’.
Le colonel Diop a aussi invité ses collègues ''à collaborer pour réussir cette activité qui permet une maitrise sans laquelle aucune décision ne peut être prise par les autorités dans le sens de la conservation des espèces''.
‘’A Djoudj, en plus du dénombrement annuel fait tous les 15 décembre, nous procédons à des dénombrements mensuels’’, a dit le colonel Diop, appelant ses collègues à ''un surplus d’efforts'' pour la réalisation d’une telle chose.
''Le PNOD connait beaucoup de difficultés avec la présence des plantes envahissantes qui ont sensiblement réduit l’espace du site'', a déclaré son conservateur, espérant pour bientôt l’aboutissement d’un projet de doublement des 16 000 ha sur 450 000 ha dont une bonne partie réservée à l’agriculture.
A l’initiative de Wetlands International, Birdlife et Waden Sea, cet atelier régional de quatre jours est l’occasion de plancher sur les voies de migration des oiseaux. Il servira d’occasion pour faciliter des échanges entre gestionnaires des différents parcs et sites de la côte ouest-africaine
APS
Pour parvenir à réaliser une telle chose, il en a appelé à la collaboration de tous les spécialistes dans ce domaine et au soutien des bailleurs de fonds comme Wetlands International, à l’initiative de cette rencontre. Il a signalé qu’un pas a été fait en cette direction mais n’a pas été suivi par d’autres.
Selon lui, ‘’ces oiseaux sont d’origine européenne mais ont trouvé les conditions idéales pour s’implanter au PNOD principalement où ils sont des milliers à séjourner durant leur période de nidification’’.
Le colonel Diop a aussi invité ses collègues ''à collaborer pour réussir cette activité qui permet une maitrise sans laquelle aucune décision ne peut être prise par les autorités dans le sens de la conservation des espèces''.
‘’A Djoudj, en plus du dénombrement annuel fait tous les 15 décembre, nous procédons à des dénombrements mensuels’’, a dit le colonel Diop, appelant ses collègues à ''un surplus d’efforts'' pour la réalisation d’une telle chose.
''Le PNOD connait beaucoup de difficultés avec la présence des plantes envahissantes qui ont sensiblement réduit l’espace du site'', a déclaré son conservateur, espérant pour bientôt l’aboutissement d’un projet de doublement des 16 000 ha sur 450 000 ha dont une bonne partie réservée à l’agriculture.
A l’initiative de Wetlands International, Birdlife et Waden Sea, cet atelier régional de quatre jours est l’occasion de plancher sur les voies de migration des oiseaux. Il servira d’occasion pour faciliter des échanges entre gestionnaires des différents parcs et sites de la côte ouest-africaine
APS