Le professeur Mokhtar SELLAMI, président du Cari a rendu un vibrant hommage aux autorités sénégalaises qui, par la force de leur engagement pour la promotion des sciences et des technologies, ont permis à cet évènement scientifique, de fouler le sol sénégalais, une deuxième fois.
« Cela témoigne d’une forte volonté des autorités de ce pays de favoriser l’édification d’une communauté scientifique plus performante et plus ouverte au monde », a-t-il dit, en saluant « l’accueil et l’hospitalité exemplaires » donnés à l’édition 2014 de ce colloque.
« Le CARI véhicule des idées qu’il faut nourrir », soutient M. SELLAMI qui insiste sur la nécessité de renforcer la dynamique panafricaine qui accompagne cette initiative. Il a mis l’accent, par ailleurs, sur l’importance de fortifier ses échanges scientifiques universitaires et souhaite qu’ils aboutissent au renforcement de la mobilité des doctorants en sciences entre les institutions universitaires d’Afrique.
L’Université Gaston Berger qui accueille ce grand rendez-vous scientifique, s’engage à renforcer ses acquis dans le domaine de la recherche en mathématiques et technologies connexes. Elle a manifesté, par la voix de son recteur, sa volonté de devenir un hub africain dans ce domaine.
« Cela témoigne d’une forte volonté des autorités de ce pays de favoriser l’édification d’une communauté scientifique plus performante et plus ouverte au monde », a-t-il dit, en saluant « l’accueil et l’hospitalité exemplaires » donnés à l’édition 2014 de ce colloque.
« Le CARI véhicule des idées qu’il faut nourrir », soutient M. SELLAMI qui insiste sur la nécessité de renforcer la dynamique panafricaine qui accompagne cette initiative. Il a mis l’accent, par ailleurs, sur l’importance de fortifier ses échanges scientifiques universitaires et souhaite qu’ils aboutissent au renforcement de la mobilité des doctorants en sciences entre les institutions universitaires d’Afrique.
L’Université Gaston Berger qui accueille ce grand rendez-vous scientifique, s’engage à renforcer ses acquis dans le domaine de la recherche en mathématiques et technologies connexes. Elle a manifesté, par la voix de son recteur, sa volonté de devenir un hub africain dans ce domaine.
« Notre Université, à travers l’UFR de Sciences appliquées et de Technologie (SAT), est devenue un acteur important au niveau sous-régional et international dans le domaine de la formation et de la recherche en mathématiques appliquées et informatique (…) ce colloque nous semble une excellente opportunité pour vulgariser des travaux innovants menés par des scientifiques dans le domaine de l’informatique et des mathématiques appliquées », a indiqué Baydallaye KANE qui insisté sur les perspectives pertinentes et innovantes qu’offrent ces échanges scientifiques.
« Dans le contexte d’une Afrique qui s’interroge sur son devenir, le CARI peut contribuer à promouvoir la formation et la recherche scientifique de haut niveau en informatique et en mathématiques appliquées, en relation avec des problématiques du développement économique et social", a-t-il souligné en magnifiant vivement le choix porté sur l’UGB de Saint-Louis pour abriter cette importante manifestation scientifique.
« A l’échelle du continent africain, la maitrise de ces outils nous permettra d’être à la pointe du progrès, de l’innovation et du développement des techniques avancées. Elle pourra nous permettre d’améliorer la gestion de nos ressources, réduire l’écart qui nous sépare des nations plus développées », pense le recteur Baydallaye KANE, par ailleurs président de l’assemblée de l’Université Gaston Berger.
« Dans le contexte d’une Afrique qui s’interroge sur son devenir, le CARI peut contribuer à promouvoir la formation et la recherche scientifique de haut niveau en informatique et en mathématiques appliquées, en relation avec des problématiques du développement économique et social", a-t-il souligné en magnifiant vivement le choix porté sur l’UGB de Saint-Louis pour abriter cette importante manifestation scientifique.
« A l’échelle du continent africain, la maitrise de ces outils nous permettra d’être à la pointe du progrès, de l’innovation et du développement des techniques avancées. Elle pourra nous permettre d’améliorer la gestion de nos ressources, réduire l’écart qui nous sépare des nations plus développées », pense le recteur Baydallaye KANE, par ailleurs président de l’assemblée de l’Université Gaston Berger.
Mary Teuw NIANE, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a salué le dynamisme du comité local d’organisation et rappelle que les objectifs du CARI cadrent parfaitement avec la politique éducative de l’État en matière de vulgarisation des formations scientifiques, matérialisée notamment par plusieurs programmes.
« Aujourd’hui, plus que jamais, les TIC ont un impact réel sur la productivité, la croissance, la santé et l’emploi, bref dans tous les domaines de l’économie, du social et du culturel. Elles ont une contribution de l’ordre de 10% au PIB du Sénégal », informe l’ancien recteur de l’UGB qui a apprécié, à sa juste valeur, l’implication active des autorités de l’Alma mater de Sanar pour le bon déroulement de ces échanges.
« L’organisation d’un évènement d’une telle envergure à l’UGB constitue, sans nul doute, une forme de reconnaissance de l’effort constant de formation et de recherche de l’UGB dans les sciences appliquées et les technologies », a-t-il ajouté.
Plusieurs articles de la Mauritanie, du Bénin, du Cameroun, de la Cote d’Ivoire, du Gabon, de l’Algérie, de la Tunisie, du Madagascar, du Maroc, de la France, de l’Arabie Saoudite, des universités de Dakar, Ziguinchor, Bambey, de Thiès, et de Saint-Louis ont été réceptionnés à cette 12e édition du CARI.
« La sélection a été rude, car sur 118 soumissions reçues et évaluées par le comité de programme international, seules 37 communications scientifiques ont été sélectionnées, soit un taux de 32% », informe le professeur Moussa LO, président du comité local d’organisation.
Ces choix rigoureux témoignent, selon M. LO, d’une volonté de rendre visibles « les travaux susceptibles de contribuer au développement technologique, à la connaissance de l’environnement et à la gestion des ressources naturelles ».
Il faut rappeler que le CARI 2014 s’oriente vers des thématiques en actualité, dont les modèles de systèmes complexes, le calcul scientifique et le parallélisme, le traitement du signal, les images et multimédia, l’intelligence artificielle et les interfaces homme-machine, les réseaux, les systèmes distribués à la mobilité, le génie logiciel et les systèmes d’information.
NDARINFO.COM
« Aujourd’hui, plus que jamais, les TIC ont un impact réel sur la productivité, la croissance, la santé et l’emploi, bref dans tous les domaines de l’économie, du social et du culturel. Elles ont une contribution de l’ordre de 10% au PIB du Sénégal », informe l’ancien recteur de l’UGB qui a apprécié, à sa juste valeur, l’implication active des autorités de l’Alma mater de Sanar pour le bon déroulement de ces échanges.
« L’organisation d’un évènement d’une telle envergure à l’UGB constitue, sans nul doute, une forme de reconnaissance de l’effort constant de formation et de recherche de l’UGB dans les sciences appliquées et les technologies », a-t-il ajouté.
Plusieurs articles de la Mauritanie, du Bénin, du Cameroun, de la Cote d’Ivoire, du Gabon, de l’Algérie, de la Tunisie, du Madagascar, du Maroc, de la France, de l’Arabie Saoudite, des universités de Dakar, Ziguinchor, Bambey, de Thiès, et de Saint-Louis ont été réceptionnés à cette 12e édition du CARI.
« La sélection a été rude, car sur 118 soumissions reçues et évaluées par le comité de programme international, seules 37 communications scientifiques ont été sélectionnées, soit un taux de 32% », informe le professeur Moussa LO, président du comité local d’organisation.
Ces choix rigoureux témoignent, selon M. LO, d’une volonté de rendre visibles « les travaux susceptibles de contribuer au développement technologique, à la connaissance de l’environnement et à la gestion des ressources naturelles ».
Il faut rappeler que le CARI 2014 s’oriente vers des thématiques en actualité, dont les modèles de systèmes complexes, le calcul scientifique et le parallélisme, le traitement du signal, les images et multimédia, l’intelligence artificielle et les interfaces homme-machine, les réseaux, les systèmes distribués à la mobilité, le génie logiciel et les systèmes d’information.
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