C’est une école de 3 classes construites en hutte comme le montre les images. L’école n’a ni bloc sanitaire, ni de l’eau, ni de l’électricité et les élèves étudient dans des conditions très difficiles. Pourtant, on y retrouve des élèves très brillants qui font d’excellents résultats à l’issue des compositions.
Selon M. DIOUF maître de français dans cette école, il faut passer une journée dans cette école pour comprendre les conditions d’apprentissage des élèves. Les temps sont très difficiles dans ce village, il arrive même qu’on achète des cahiers et des stylos aux élèves pour qu’ils puissent apprendre. Il a aussi souligné qu’ils ont fait appel à des organisations pour les aider à améliorer les conditions d’apprentissage mais jusque-là en vain.
Récemment les cours avaient été arrêtés pour cause il y avait beaucoup de poussières accompagnées de fortes chaleurs. Pourtant il faut moins de 5 millions pour construire une salle de classe avec tous les équipements nécessaires mais selon lui c’est une absence de volonté.
C’est une école de 3 classes construites en hutte comme le montre les images. L’école n’a ni bloc sanitaire, ni de l’eau, ni de l’électricité et les élèves étudient dans des conditions très difficiles. Pourtant, on y retrouve des élèves très brillants qui font d’excellents résultats à l’issue des compositions.
Selon M. DIOUF, maître de français dans cette école, il faut passer une journée dans cette école pour comprendre les conditions d’apprentissage des élèves. Les temps sont très difficiles dans ce village, il arrive même qu’on achète des cahiers et des stylos aux élèves pour qu’ils puissent apprendre. Il a aussi souligné qu’ils ont fait appel à des organisations pour les aider à améliorer les conditions d’apprentissage mais jusque-là en vain.
Récemment, les cours avaient été arrêtés pour cause il y avait beaucoup de poussières accompagnées de fortes chaleurs. Pourtant, il faut moins de 5 millions pour construire une salle de classe avec tous les équipements nécessaires mais selon lui c’est une absence de volonté.
Selon M. DIOUF, maître de français dans cette école, il faut passer une journée dans cette école pour comprendre les conditions d’apprentissage des élèves. Les temps sont très difficiles dans ce village, il arrive même qu’on achète des cahiers et des stylos aux élèves pour qu’ils puissent apprendre. Il a aussi souligné qu’ils ont fait appel à des organisations pour les aider à améliorer les conditions d’apprentissage mais jusque-là en vain.
Récemment, les cours avaient été arrêtés pour cause il y avait beaucoup de poussières accompagnées de fortes chaleurs. Pourtant, il faut moins de 5 millions pour construire une salle de classe avec tous les équipements nécessaires mais selon lui c’est une absence de volonté.
Malgré tous les problèmes qui rythment les heures qu’ils passent dans cette école, ces élèves ont des ambitions qu’ils ont voulu partager. Beaucoup d’entre eux rêvent de devenir enseignant un jour quant à aux autres, ils veulent devenir plus tard docteurs.
Ce qui m’a étonné c’est le fait que cette école se trouve à moins de 15 kilomètres de la ville de Saint-Louis. L’éducation est un droit pour tout enfant et ces enfants ont le droit de bénéficier d’une bonne éducation comme les autres qui sont dans les villes.
Peut-être ces images auront un impact positif et que les autorités réagiront. Nous devons vraiment investir sur la jeunesse car elle représente l’avenir. Un pays qui aspire à se développer doit privilégier les secteurs importants comme celui de l’éducation. Les images seront envoyées au ministre de l’éducation pour essayer de les interpeller afin d’avoir une réaction de leur part.
Mouhamadou GUEYE, étudiant à l’UGB.
Mouhamadou GUEYE, étudiant à l’UGB.