Le chef du service régional de l’hydraulique de Saint-Louis, Adama Ndianor, a indiqué que les 10 m correspondant à la cote d’alerte sur le fleuve Sénégal ont été largement dépassés à la date du 27 août dernier à la station de référence de Bakel avec une cote de 10 m 21. A la même période de l’année dernière, elle était de 6, 07 m, a rappelé M. Ndianor, interrogé par la radio privée Sud-Fm.
Selon lui, cette situation s’explique par les importantes précipitations enregistrées depuis le 17 août qui ont entraîné des écoulements au niveau des affluents non contrôlés du fleuve Sénégal, le Bafing et le Bakoye.
Néanmoins, il a assure la situation est bien suivie par les services de l’hydraulique afin d’alerter les autorités en cas de débordement. Les ouvrages sont dimensionnés par rapport aux cotes d’alerte, et il ya des digues assez fragiles qui ne peuvent résister à certaines crues, a prévenu le chef du service régional de l’hydraulique, rappelant que la vallée est une zone inondable.
A Saint-Louis, il faudra attendre à peu près trois semaines pour voir les conséquences d’une telle crue, selon M. Ndianor, estimant qu’avec la brèche qui y a été ouverte, il ne devrait pas y avoir de gros risques pour la ville.
Le Soleil d'après l'APS
Selon lui, cette situation s’explique par les importantes précipitations enregistrées depuis le 17 août qui ont entraîné des écoulements au niveau des affluents non contrôlés du fleuve Sénégal, le Bafing et le Bakoye.
Néanmoins, il a assure la situation est bien suivie par les services de l’hydraulique afin d’alerter les autorités en cas de débordement. Les ouvrages sont dimensionnés par rapport aux cotes d’alerte, et il ya des digues assez fragiles qui ne peuvent résister à certaines crues, a prévenu le chef du service régional de l’hydraulique, rappelant que la vallée est une zone inondable.
A Saint-Louis, il faudra attendre à peu près trois semaines pour voir les conséquences d’une telle crue, selon M. Ndianor, estimant qu’avec la brèche qui y a été ouverte, il ne devrait pas y avoir de gros risques pour la ville.
Le Soleil d'après l'APS